Billet de 100 dollars sur lequel figure Benjamin Franklin
Charles de Gaulle et le laissez-fairisme
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Charles de Gaulle à propos de la politique économique de la France
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Woody Allen et la richesse
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« Je veux être le président du pouvoir d’achat »
Répétée lors du Discours en Guadeloupe (22 mars 2007) et lors de la Rencontre avec les Ultramarins de métropole (31 mars 2007), cette phrase du candidat UMP pour les Présidentielles, Nicolas Sarkozy, sonnera aujourd’hui différemment, crise et bilan du premier mandat obligent.
Je veux aussi que le travail paye. Je veux être le Président du pouvoir d’achat. Le problème de la France, c’est que les salaires sont trop bas, que les prix sont trop élevés et que les prélèvements obligatoires sont trop pesants. Je veux que les heures supplémentaires soient toutes rémunérées 25% de plus que les heures normales, quelle que soit la taille de l’entreprise, et qu’elles soient exonérées de toutes charges fiscales et sociales afin qu’elles soient plus payantes pour les salariés et moins chères pour les entreprises. Quatre heures de travail en plus par semaine sans charges, c’est 1.980 euros net en plus à la fin de l’année pour tout salarié rémunéré au SMIC. Voilà la réalité ! Voilà la récompense justifiée de l’effort que je veux mettre en place !
Nicolas Sarkozy, Extrait du discours en Guadeloupe, le 22 mars 2007 1
1. Nicolas Sarkozy, Discours en Guadeloupe, prononcé le 22 mars 2007, sites.univ-provence.fr
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Le milliardaire américain Jean Paul Getty
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Jean Paul Getty était-il si riche qu’il ne pouvait compter son argent ?
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« Travailler plus pour gagner plus »
Martelé à d’innombrables reprises pendant la campagne présidentielle de 2007, l’un des axiomes du candidat Nicolas Sarkozy était l’incontournable « Travailler plus pour gagner plus ». Or, ce slogan de campagne est, dans les faits, indissociable de sa subordonnée1 : « (…) pour ceux qui le souhaitent ». Il s’agissait avant tout de rendre plus flexible le travail du salarié, et non de l’imposer.
Un point étrangement passé sous silence, pourtant les discours2 de Saint Quentin (25 janvier 2007), celui tenu aux hôteliers (1er décembre 2006), le discours de Périgueux (12 octobre 2006) ou celui tenu aux personnels médicaux (18 décembre 2006), sont clairs.
Je propose de supprimer les charges et les impôts sur les heures supplémentaires pour que ceux qui veulent travailler plus pour gagner plus soient encouragés à le faire, sans que personne y soit obligé.
Nicolas Sarkozy, Discours à Saint-Quentin, le 25 janvier 2007
1. Yrduab, Travailler plus pour gagner plus… pour ceux qui le souhaitent !, Agoravox.fr
2. Jean Véronis, Les discours des présidentiables, Université de Provence
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« Je me suis acheté un château, ce n’est pas pour laisser les romanichels venir sur les pelouses ! »
Selon Le Canard Enchainé, Martin Bouygues aurait déclaré « Je me suis acheté un château, ce n’est pas pour laisser les romanichels venir sur les pelouses ! », pour parler de l’arrivée d’un quatrième opérateur de téléphonie mobile : Free.
Xavier Niel, dirigeant d’Iliad, ne s’était pas privé pour faire référence à cette pique, notamment lors des quelques semaines précédent le lancement de Free Mobile. L’on avait ainsi pu découvrir une caravane sur le site mobile.free.fr, un camion posté devant le siège de Bouygues, des adresses IP sous la forme xx-xx-xxx-xxx.romanichel.net, et même une série de lignes dans le code source de la page de l’opérateur :
< !— Ca y est : on harnache les chevaux aux roulottes —>
< !— Update : La caravane se met en route vers le chateau —>
< !— Le chateau est enfin en vue mais on n’aperçoit pas encore bien les pelouses —>
< !— Ah, elles ont l’air bien entretenues les pelouses... Demain journée portes ouvertes au Chateau ! —>
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Milton Friedman photo
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milton friedman economiste
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friedman nobel
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hayek et mises
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friedrich hayek
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Mitt Romney fait une gaffe à la télévision sur les pauvres
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« Je veux être le président du pouvoir d’achat »
Répétée lors du Discours en Guadeloupe (22 mars 2007) et lors de la Rencontre avec les Ultramarins de métropole (31 mars 2007), cette phrase du candidat UMP pour les Présidentielles, Nicolas Sarkozy, sonnera aujourd’hui différemment, crise et bilan du premier mandat obligent.
Je veux aussi que le travail paye. Je veux être le Président du pouvoir d’achat. Le problème de la France, c’est que les salaires sont trop bas, que les prix sont trop élevés et que les prélèvements obligatoires sont trop pesants. Je veux que les heures supplémentaires soient toutes rémunérées 25% de plus que les heures normales, quelle que soit la taille de l’entreprise, et qu’elles soient exonérées de toutes charges fiscales et sociales afin qu’elles soient plus payantes pour les salariés et moins chères pour les entreprises. Quatre heures de travail en plus par semaine sans charges, c’est 1.980 euros net en plus à la fin de l’année pour tout salarié rémunéré au SMIC. Voilà la réalité ! Voilà la récompense justifiée de l’effort que je veux mettre en place !
Nicolas Sarkozy, Extrait du discours en Guadeloupe, le 22 mars 2007 1
1. Nicolas Sarkozy, Discours en Guadeloupe, prononcé le 22 mars 2007, sites.univ-provence.fr
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Je veux être le président du pouvoir d’achat
Répétée lors du Discours en Guadeloupe (22 mars 2007) et lors de la Rencontre avec les Ultramarins de métropole (31 mars 2007), cette phrase du candidat UMP pour les Présidentielles, Nicolas Sarkozy, sonnera aujourd’hui différemment, crise et bilan du premier mandat obligent.
Je veux aussi que le travail paye. Je veux être le Président du pouvoir d’achat. Le problème de la France, c’est que les salaires sont trop bas, que les prix sont trop élevés et que les prélèvements obligatoires sont trop pesants. Je veux que les heures supplémentaires soient toutes rémunérées 25% de plus que les heures normales, quelle que soit la taille de l’entreprise, et qu’elles soient exonérées de toutes charges fiscales et sociales afin qu’elles soient plus payantes pour les salariés et moins chères pour les entreprises. Quatre heures de travail en plus par semaine sans charges, c’est 1.980 euros net en plus à la fin de l’année pour tout salarié rémunéré au SMIC. Voilà la réalité ! Voilà la récompense justifiée de l’effort que je veux mettre en place !
Nicolas Sarkozy, Discours en Guadeloupe, le 22 mars 2007 1
1. Nicolas Sarkozy, Discours en Guadeloupe, prononcé le 22 mars 2007, sites.univ-provence.fr
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Je veux être le président du pouvoir d’achat
Répétée lors du Discours en Guadeloupe (22 mars 2007) et lors de la Rencontre avec les Ultramarins de métropole (31 mars 2007), cette phrase du candidat UMP pour les Présidentielles, Nicolas Sarkozy, sonnera aujourd’hui différemment, crise et bilan du premier mandat obligent.
Je veux aussi que le travail paye. Je veux être le Président du pouvoir d’achat. Le problème de la France, c’est que les salaires sont trop bas, que les prix sont trop élevés et que les prélèvements obligatoires sont trop pesants. Je veux que les heures supplémentaires soient toutes rémunérées 25% de plus que les heures normales, quelle que soit la taille de l’entreprise, et qu’elles soient exonérées de toutes charges fiscales et sociales afin qu’elles soient plus payantes pour les salariés et moins chères pour les entreprises. Quatre heures de travail en plus par semaine sans charges, c’est 1.980 euros net en plus à la fin de l’année pour tout salarié rémunéré au SMIC. Voilà la réalité ! Voilà la récompense justifiée de l’effort que je veux mettre en place !
Nicolas Sarkozy, Discours en Guadeloupe, le 22 mars 2007 1
1. Nicolas Sarkozy, Discours en Guadeloupe, prononcé le 22 mars 2007, sites.univ-provence.fr
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Je veux être le président du pouvoir d’achat
Répétée lors du Discours en Guadeloupe (22 mars 2007) et lors de la Rencontre avec les Ultramarins de métropole (31 mars 2007), cette phrase du candidat UMP pour les Présidentielles, Nicolas Sarkozy, sonnera aujourd’hui différemment, crise et bilan du premier mandat obligent.
Je veux aussi que le travail paye. Je veux être le Président du pouvoir d’achat. Le problème de la France, c’est que les salaires sont trop bas, que les prix sont trop élevés et que les prélèvements obligatoires sont trop pesants. Je veux que les heures supplémentaires soient toutes rémunérées 25% de plus que les heures normales, quelle que soit la taille de l’entreprise, et qu’elles soient exonérées de toutes charges fiscales et sociales afin qu’elles soient plus payantes pour les salariés et moins chères pour les entreprises. Quatre heures de travail en plus par semaine sans charges, c’est 1.980 euros net en plus à la fin de l’année pour tout salarié rémunéré au SMIC. Voilà la réalité ! Voilà la récompense justifiée de l’effort que je veux mettre en place !
Nicolas Sarkozy, Discours en Guadeloupe, le 22 mars 2007 1
1. Nicolas Sarkozy, Discours en Guadeloupe, prononcé le 22 mars 2007, sites.univ-provence.fr
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nicolas sarkozy guadeloupe
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guadeloupe-nicolas-sarkozy-le-moule-guadeloupe_34
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Je veux être le président du pouvoir d’achat
Répétée lors du Discours en Guadeloupe (22 mars 2007) et lors de la Rencontre avec les Ultramarins de métropole (31 mars 2007), cette phrase du candidat UMP pour les Présidentielles, Nicolas Sarkozy, sonnera aujourd’hui différemment, crise et bilan du premier mandat obligent.
Je veux aussi que le travail paye. Je veux être le Président du pouvoir d’achat. Le problème de la France, c’est que les salaires sont trop bas, que les prix sont trop élevés et que les prélèvements obligatoires sont trop pesants. Je veux que les heures supplémentaires soient toutes rémunérées 25% de plus que les heures normales, quelle que soit la taille de l’entreprise, et qu’elles soient exonérées de toutes charges fiscales et sociales afin qu’elles soient plus payantes pour les salariés et moins chères pour les entreprises. Quatre heures de travail en plus par semaine sans charges, c’est 1.980 euros net en plus à la fin de l’année pour tout salarié rémunéré au SMIC. Voilà la réalité ! Voilà la récompense justifiée de l’effort que je veux mettre en place !
Nicolas Sarkozy, Discours en Guadeloupe, le 22 mars 2007 1
1. Nicolas Sarkozy, Discours en Guadeloupe, prononcé le 22 mars 2007, sites.univ-provence.fr
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lenine russe
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« On vous presse comme des citrons, c’est nous les pigeons et on en a ras-le-bol de se faire arnaquer avec les prix les plus élevés d’Europe »
Devant un parterre de journalistes, et tandis que les rumeurs les plus folles circulaient depuis des semaines, Xavier Niel dévoile les grilles tarifaires du nouvel opérateur de téléphonie mobile, Free Mobile. Prix imbattables, appels totalement illimités, aucun engagement. L’offre fait l’effet d’une bombe, surtout auprès des opérateurs historiques qui s’étaient jusque là organisés en un tranquille oligopole. Le lancement est un succès auprès de l’opinion publique, et s’avère être une véritable campagne marketing, à zéro coût, le buzz ayant été à son paroxysme sur le territoire français.
Le maître de cérémonie s’offusque des contrats pratiqués par la concurrence, et n’hésite pas à qualifier ceux qui resteraient chez leur opérateur au lieu de venir chez Free Mobile de pigeons. Disposant déjà d’une base conséquente d’utilisateurs à travers ses services internet (4,8 millions d’abonnés), Xavier Niel permet donc à Free de se lancer dans une offre de quadruple play très attendue (internet, télévision, fixe et mobile). Objectif : 3 millions d’abonnés sur le mobile.
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« Travailler plus pour gagner plus »
Martelé à d’innombrables reprises pendant la campagne présidentielle de 2007, l’un des axiomes du candidat Nicolas Sarkozy était l’incontournable « Travailler plus pour gagner plus ». Or, ce slogan de campagne est, dans les faits, indissociable de sa subordonnée1 : « (…) pour ceux qui le souhaitent ». Il s’agissait avant tout de rendre plus flexible le travail du salarié, et non de l’imposer.
Un point étrangement passé sous silence, pourtant les discours2 de Saint Quentin (25 janvier 2007), celui tenu aux hôteliers (1er décembre 2006), le discours de Périgueux (12 octobre 2006) ou celui tenu aux personnels médicaux (18 décembre 2006), sont clairs.
Je propose de supprimer les charges et les impôts sur les heures supplémentaires pour que ceux qui veulent travailler plus pour gagner plus soient encouragés à le faire, sans que personne y soit obligé.
Nicolas Sarkozy, Discours à Saint-Quentin, le 25 janvier 2007
1. Yrduab, Travailler plus pour gagner plus… pour ceux qui le souhaitent !, Agoravox.fr
2. Jean Véronis, Les discours des présidentiables, Université de Provence
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« Travailler plus pour gagner plus »
Martelé à d’innombrables reprises pendant la campagne présidentielle de 2007, l’un des axiomes du candidat Nicolas Sarkozy était l’incontournable « Travailler plus pour gagner plus ». Or, ce slogan de campagne est, dans les faits, indissociable de sa subordonnée1 : « (…) pour ceux qui le souhaitent ». Il s’agissait avant tout de rendre plus flexible le travail du salarié, et non de l’imposer.
Un point étrangement passé sous silence, pourtant les discours2 de Saint Quentin (25 janvier 2007), celui tenu aux hôteliers (1er décembre 2006), le discours de Périgueux (12 octobre 2006) ou celui tenu aux personnels médicaux (18 décembre 2006), sont clairs.
Je propose de supprimer les charges et les impôts sur les heures supplémentaires pour que ceux qui veulent travailler plus pour gagner plus soient encouragés à le faire, sans que personne y soit obligé.
Nicolas Sarkozy, Discours à Saint-Quentin, le 25 janvier 2007
1. Yrduab, Travailler plus pour gagner plus… pour ceux qui le souhaitent !, Agoravox.fr
2. Jean Véronis, Les discours des présidentiables, Université de Provence
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« Travailler plus pour gagner plus »
Martelé à d’innombrables reprises pendant la campagne présidentielle de 2007, l’un des axiomes du candidat Nicolas Sarkozy était l’incontournable « Travailler plus pour gagner plus ». Or, ce slogan de campagne est, dans les faits, indissociable de sa subordonnée1 : « (…) pour ceux qui le souhaitent ». Il s’agissait avant tout de rendre plus flexible le travail du salarié, et non de l’imposer.
Un point étrangement passé sous silence, pourtant les discours2 de Saint Quentin (25 janvier 2007), celui tenu aux hôteliers (1er décembre 2006), le discours de Périgueux (12 octobre 2006) ou celui tenu aux personnels médicaux (18 décembre 2006), sont clairs.
Je propose de supprimer les charges et les impôts sur les heures supplémentaires pour que ceux qui veulent travailler plus pour gagner plus soient encouragés à le faire, sans que personne y soit obligé.
Nicolas Sarkozy, Discours à Saint-Quentin, le 25 janvier 2007
1. Yrduab, Travailler plus pour gagner plus… pour ceux qui le souhaitent !, Agoravox.fr
2. Jean Véronis, Les discours des présidentiables, Université de Provence
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« Travailler plus pour gagner plus »
Martelé à d’innombrables reprises pendant la campagne présidentielle de 2007, l’un des axiomes du candidat Nicolas Sarkozy était l’incontournable « Travailler plus pour gagner plus ». Or, ce slogan de campagne est, dans les faits, indissociable de sa subordonnée1 : « (…) pour ceux qui le souhaitent ». Il s’agissait avant tout de rendre plus flexible le travail du salarié, et non de l’imposer.
Un point étrangement passé sous silence, pourtant les discours2 de Saint Quentin (25 janvier 2007), celui tenu aux hôteliers (1er décembre 2006), le discours de Périgueux (12 octobre 2006) ou celui tenu aux personnels médicaux (18 décembre 2006), sont clairs.
Je propose de supprimer les charges et les impôts sur les heures supplémentaires pour que ceux qui veulent travailler plus pour gagner plus soient encouragés à le faire, sans que personne y soit obligé.
Nicolas Sarkozy, Discours à Saint-Quentin, le 25 janvier 2007
1. Yrduab, Travailler plus pour gagner plus… pour ceux qui le souhaitent !, Agoravox.fr
2. Jean Véronis, Les discours des présidentiables, Université de Provence
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« Travailler plus pour gagner plus »
Martelé à d’innombrables reprises pendant la campagne présidentielle de 2007, l’un des axiomes du candidat Nicolas Sarkozy était l’incontournable « Travailler plus pour gagner plus ». Or, ce slogan de campagne est, dans les faits, indissociable de sa subordonnée1 : « (…) pour ceux qui le souhaitent ». Il s’agissait avant tout de rendre plus flexible le travail du salarié, et non de l’imposer.
Un point étrangement passé sous silence, pourtant les discours2 de Saint Quentin (25 janvier 2007), celui tenu aux hôteliers (1er décembre 2006), le discours de Périgueux (12 octobre 2006) ou celui tenu aux personnels médicaux (18 décembre 2006), sont clairs.
Je propose de supprimer les charges et les impôts sur les heures supplémentaires pour que ceux qui veulent travailler plus pour gagner plus soient encouragés à le faire, sans que personne y soit obligé.
Nicolas Sarkozy, Discours à Saint-Quentin, le 25 janvier 2007
1. Yrduab, Travailler plus pour gagner plus… pour ceux qui le souhaitent !, Agoravox.fr
2. Jean Véronis, Les discours des présidentiables, Université de Provence
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« Travailler plus pour gagner plus »
Martelé à d’innombrables reprises pendant la campagne présidentielle de 2007, l’un des axiomes du candidat Nicolas Sarkozy était l’incontournable « Travailler plus pour gagner plus ». Or, ce slogan de campagne est, dans les faits, indissociable de sa subordonnée1 : « (…) pour ceux qui le souhaitent ». Il s’agissait avant tout de rendre plus flexible le travail du salarié, et non de l’imposer.
Un point étrangement passé sous silence, pourtant les discours2 de Saint Quentin (25 janvier 2007), celui tenu aux hôteliers (1er décembre 2006), le discours de Périgueux (12 octobre 2006) ou celui tenu aux personnels médicaux (18 décembre 2006), sont clairs.
Je propose de supprimer les charges et les impôts sur les heures supplémentaires pour que ceux qui veulent travailler plus pour gagner plus soient encouragés à le faire, sans que personne y soit obligé.
Nicolas Sarkozy, Discours à Saint-Quentin, le 25 janvier 2007
1. Yrduab,
Travailler plus pour gagner plus… pour ceux qui le souhaitent !, Agoravox.fr
2. Jean Véronis, Les discours des présidentiables, Université de Provence
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« Travailler plus pour gagner plus »
Martelé à d’innombrables reprises pendant la campagne présidentielle de 2007, l’un des axiomes du candidat Nicolas Sarkozy était l’incontournable « Travailler plus pour gagner plus ». Or, ce slogan de campagne est, dans les faits, indissociable de sa subordonnée1 : « (…) pour ceux qui le souhaitent ». Il s’agissait avant tout de rendre plus flexible le travail du salarié, et non de l’imposer.
Un point étrangement passé sous silence, pourtant les discours2 de Saint Quentin (25 janvier 2007), celui tenu aux hôteliers (1er décembre 2006), le discours de Périgueux (12 octobre 2006) ou celui tenu aux personnels médicaux (18 décembre 2006), sont clairs.
Je propose de supprimer les charges et les impôts sur les heures supplémentaires pour que ceux qui veulent travailler plus pour gagner plus soient encouragés à le faire, sans que personne y soit obligé.
Nicolas Sarkozy, Discours à Saint-Quentin, le 25 janvier 2007
1. Yrduab,
Travailler plus pour gagner plus… pour ceux qui le souhaitent !, Agoravox.fr
2. Jean Véronis, Les discours des présidentiables, Université de Provence
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« Travailler plus pour gagner plus »
Martelé à d’innombrables reprises pendant la campagne présidentielle de 2007, l’un des axiomes du candidat Nicolas Sarkozy était l’incontournable « Travailler plus pour gagner plus ». Or, ce slogan de campagne est, dans les faits, indissociable de sa subordonnée1 : « (…) pour ceux qui le souhaitent ». Il s’agissait avant tout de rendre plus flexible le travail du salarié, et non de l’imposer.
Un point étrangement passé sous silence, pourtant les discours2 de Saint Quentin (25 janvier 2007), celui tenu aux hôteliers (1er décembre 2006), le discours de Périgueux (12 octobre 2006) ou celui tenu aux personnels médicaux (18 décembre 2006), sont clairs.
Je propose de supprimer les charges et les impôts sur les heures supplémentaires pour que ceux qui veulent travailler plus pour gagner plus soient encouragés à le faire, sans que personne y soit obligé.
Nicolas Sarkozy, Discours à Saint-Quentin, le 25 janvier 2007
1. Yrduab,
Travailler plus pour gagner plus… pour ceux qui le souhaitent !, Agoravox.fr
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« Travailler plus pour gagner plus »
Martelé à d’innombrables reprises pendant la campagne présidentielle de 2007, l’un des axiomes du candidat Nicolas Sarkozy était l’incontournable « Travailler plus pour gagner plus ». Or, ce slogan de campagne est, dans les faits, indissociable de sa subordonnée1 : « (…) pour ceux qui le souhaitent ». Il s’agissait avant tout de rendre plus flexible le travail du salarié, et non de l’imposer.
Un point étrangement passé sous silence, pourtant les discours2 de Saint Quentin (25 janvier 2007), celui tenu aux hôteliers (1er décembre 2006), le discours de Périgueux (12 octobre 2006) ou celui tenu aux personnels médicaux (18 décembre 2006), sont clairs.
Je propose de supprimer les charges et les impôts sur les heures supplémentaires pour que ceux qui veulent travailler plus pour gagner plus soient encouragés à le faire, sans que personne y soit obligé.
Nicolas Sarkozy, Discours à Saint-Quentin, le 25 janvier 2007
1. Yrduab,
Travailler plus pour gagner plus… pour ceux qui le souhaitent !, Agoravox.fr
2. Jean Véronis, Les discours des présidentiables, Université de Provence
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Martelé à d’innombrables reprises pendant la campagne présidentielle de 2007, l’un des axiomes du candidat Nicolas Sarkozy était l’incontournable « Travailler plus pour gagner plus ». Or, ce slogan de campagne est, dans les faits, indissociable de sa subordonnée1 : « (…) pour ceux qui le souhaitent ». Il s’agissait avant tout de rendre plus flexible le travail du salarié, et non de l’imposer.
Un point étrangement passé sous silence, pourtant les discours2 de Saint Quentin (25 janvier 2007), celui tenu aux hôteliers (1er décembre 2006), le discours de Périgueux (12 octobre 2006) ou celui tenu aux personnels médicaux (18 décembre 2006), sont clairs.
Je propose de supprimer les charges et les impôts sur les heures supplémentaires pour que ceux qui veulent travailler plus pour gagner plus soient encouragés à le faire, sans que personne y soit obligé.
Nicolas Sarkozy, Discours à Saint-Quentin, le 25 janvier 2007
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Travailler plus pour gagner plus… pour ceux qui le souhaitent !, Agoravox.fr
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Martelé à d’innombrables reprises pendant la campagne présidentielle de 2007, l’un des axiomes du candidat Nicolas Sarkozy était l’incontournable « Travailler plus pour gagner plus ». Or, ce slogan de campagne est, dans les faits, indissociable de sa subordonnée1 : « (…) pour ceux qui le souhaitent ». Il s’agissait avant tout de rendre plus flexible le travail du salarié, et non de l’imposer.
Un point étrangement passé sous silence, pourtant les discours2 de Saint Quentin (25 janvier 2007), celui tenu aux hôteliers (1er décembre 2006), le discours de Périgueux (12 octobre 2006) ou celui tenu aux personnels médicaux (18 décembre 2006), sont clairs.
Je propose de supprimer les charges et les impôts sur les heures supplémentaires pour que ceux qui veulent travailler plus pour gagner plus soient encouragés à le faire, sans que personne y soit obligé.
Nicolas Sarkozy, Discours à Saint-Quentin, le 25 janvier 2007
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Travailler plus pour gagner plus… pour ceux qui le souhaitent !, Agoravox.fr
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Martelé à d’innombrables reprises pendant la campagne présidentielle de 2007, l’un des axiomes du candidat Nicolas Sarkozy était l’incontournable « Travailler plus pour gagner plus ». Or, ce slogan de campagne est, dans les faits, indissociable de sa subordonnée1 : « (…) pour ceux qui le souhaitent ». Il s’agissait avant tout de rendre plus flexible le travail du salarié, et non de l’imposer.
Un point étrangement passé sous silence, pourtant les discours2 de Saint Quentin (25 janvier 2007), celui tenu aux hôteliers (1er décembre 2006), le discours de Périgueux (12 octobre 2006) ou celui tenu aux personnels médicaux (18 décembre 2006), sont clairs.
Je propose de supprimer les charges et les impôts sur les heures supplémentaires pour que ceux qui veulent travailler plus pour gagner plus soient encouragés à le faire, sans que personne y soit obligé.
Nicolas Sarkozy, Discours à Saint-Quentin, le 25 janvier 2007
1. Yrduab,
Travailler plus pour gagner plus… pour ceux qui le souhaitent !, Agoravox.fr
2. Jean Véronis, Les discours des présidentiables, Université de Provence
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Nicolas Sarkozy dans une émission
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François Baroin au Grand Jury RTL-LeFigaro-LCI
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« C’est indigne de pouvoir reprocher au président de la République d’être allé dans une brasserie populaire des Champs-Elysées ce soir-là »
Invité de Mardi politique sur RFI, l’ancien ministre de l’industrie Christian Estrosi était amené à revenir sur la célèbre soirée du Fouquet’s, laquelle avait couronné l’avènement de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République.
L’opulence du lieu avait alors marqué les esprits, et consacré l’image bling-bling qui allait tant coller à la peau du nouveau président.
Refusant longuement de commenter cette soirée, Christian Estrosi avait préféré souligner qu’il avait, lui, fêté la victoire Place de la Concorde. Toutefois, devant l’insistance des journalistes, celui-ci avait fini par banaliser le lieu : « C’est indigne de pouvoir reprocher au président de la République d’être allé dans une brasserie populaire des Champs-Elysées ce soir-là ».
Sentant la bourde venir, celui-ci s’était alors empressé d’interroger les journalistes, leur demandant à son tour qui parmi eux avait déjà été dans ce restaurant huppé. Sans succès.
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François Hollande en meeting
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« Je me suis acheté un château, ce n’est pas pour laisser les romanichels venir sur les pelouses ! »
Selon Le Canard Enchainé, Martin Bouygues avait déclaré en janvier 2011 « Je me suis acheté un château, ce n’est pas pour laisser les romanichels venir sur les pelouses ! », pour parler de l’arrivée d’un quatrième opérateur de téléphonie mobile : Free.
Xavier Niel, dirigeant d’Iliad, ne s’était pas privé pour faire référence à cette pique, notamment lors des quelques semaines précédent le lancement de Free Mobile. L’on avait ainsi pu découvrir une caravane sur le site mobile.free.fr, un camion posté devant le siège de Bouygues, des adresses IP sous la forme xx-xx-xxx-xxx.romanichel.net, et même une série de lignes dans le code source de la page de l’opérateur :
< !— Ca y est : on harnache les chevaux aux roulottes —>
< !— Update : La caravane se met en route vers le chateau —>
< !— Le chateau est enfin en vue mais on n’aperçoit pas encore bien les pelouses —>
< !— Ah, elles ont l’air bien entretenues les pelouses... Demain journée portes ouvertes au Chateau ! —>
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« Je me suis acheté un château, ce n’est pas pour laisser les romanichels venir sur les pelouses ! »
Selon Le Canard Enchainé, Martin Bouygues avait déclaré en janvier 2011 « Je me suis acheté un château, ce n’est pas pour laisser les romanichels venir sur les pelouses ! », pour parler de l’arrivée d’un quatrième opérateur de téléphonie mobile : Free.
Xavier Niel, dirigeant d’Iliad, ne s’était pas privé pour faire référence à cette pique, notamment lors des quelques semaines précédent le lancement de Free Mobile. L’on avait ainsi pu découvrir une caravane sur le site mobile.free.fr, un camion posté devant le siège de Bouygues, des adresses IP sous la forme xx-xx-xxx-xxx.romanichel.net, et même une série de lignes dans le code source de la page de l’opérateur :
< !— Ca y est : on harnache les chevaux aux roulottes —>
< !— Update : La caravane se met en route vers le chateau —>
< !— Le chateau est enfin en vue mais on n’aperçoit pas encore bien les pelouses —>
< !— Ah, elles ont l’air bien entretenues les pelouses... Demain journée portes ouvertes au Chateau ! —>
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« Je me suis acheté un château, ce n’est pas pour laisser les romanichels venir sur les pelouses ! »
Selon Le Canard Enchainé, Martin Bouygues avait déclaré en janvier 2011 « Je me suis acheté un château, ce n’est pas pour laisser les romanichels venir sur les pelouses ! », pour parler de l’arrivée d’un quatrième opérateur de téléphonie mobile : Free.
Xavier Niel, dirigeant d’Iliad, ne s’était pas privé pour faire référence à cette pique, notamment lors des quelques semaines précédent le lancement de Free Mobile. L’on avait ainsi pu découvrir une caravane sur le site mobile.free.fr, un camion posté devant le siège de Bouygues, des adresses IP sous la forme xx-xx-xxx-xxx.romanichel.net, et même une série de lignes dans le code source de la page de l’opérateur :
< !— Ca y est : on harnache les chevaux aux roulottes —>
< !— Update : La caravane se met en route vers le chateau —>
< !— Le chateau est enfin en vue mais on n’aperçoit pas encore bien les pelouses —>
< !— Ah, elles ont l’air bien entretenues les pelouses... Demain journée portes ouvertes au Chateau ! —>
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« Je me suis acheté un château, ce n’est pas pour laisser les romanichels venir sur les pelouses ! »
Selon Le Canard Enchainé, Martin Bouygues avait déclaré en janvier 2011 « Je me suis acheté un château, ce n’est pas pour laisser les romanichels venir sur les pelouses ! », pour parler de l’arrivée d’un quatrième opérateur de téléphonie mobile : Free.
Xavier Niel, dirigeant d’Iliad, ne s’était pas privé pour faire référence à cette pique, notamment lors des quelques semaines précédent le lancement de Free Mobile. L’on avait ainsi pu découvrir une caravane sur le site mobile.free.fr, un camion posté devant le siège de Bouygues, des adresses IP sous la forme xx-xx-xxx-xxx.romanichel.net, et même une série de lignes dans le code source de la page de l’opérateur :
< !— Ca y est : on harnache les chevaux aux roulottes —>
< !— Update : La caravane se met en route vers le chateau —>
< !— Le chateau est enfin en vue mais on n’aperçoit pas encore bien les pelouses —>
< !— Ah, elles ont l’air bien entretenues les pelouses... Demain journée portes ouvertes au Chateau ! —>
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« Je me suis acheté un château, ce n’est pas pour laisser les romanichels venir sur les pelouses ! »
Selon Le Canard Enchainé, Martin Bouygues avait déclaré en janvier 2011 « Je me suis acheté un château, ce n’est pas pour laisser les romanichels venir sur les pelouses ! », pour parler de l’arrivée d’un quatrième opérateur de téléphonie mobile : Free.
Xavier Niel, dirigeant d’Iliad, ne s’était pas privé pour faire référence à cette pique, notamment lors des quelques semaines précédent le lancement de Free Mobile. L’on avait ainsi pu découvrir une caravane sur le site mobile.free.fr, un camion posté devant le siège de Bouygues, des adresses IP sous la forme xx-xx-xxx-xxx.romanichel.net, et même une série de lignes dans le code source de la page de l’opérateur :
< !— Ca y est : on harnache les chevaux aux roulottes —>
< !— Update : La caravane se met en route vers le chateau —>
< !— Le chateau est enfin en vue mais on n’aperçoit pas encore bien les pelouses —>
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« Je me suis acheté un château, ce n’est pas pour laisser les romanichels venir sur les pelouses ! »
Selon Le Canard Enchainé, Martin Bouygues avait déclaré en janvier 2011 « Je me suis acheté un château, ce n’est pas pour laisser les romanichels venir sur les pelouses ! », pour parler de l’arrivée d’un quatrième opérateur de téléphonie mobile : Free.
Xavier Niel, dirigeant d’Iliad, ne s’était pas privé pour faire référence à cette pique, notamment lors des quelques semaines précédent le lancement de Free Mobile. L’on avait ainsi pu découvrir une caravane sur le site mobile.free.fr, un camion posté devant le siège de Bouygues, des adresses IP sous la forme xx-xx-xxx-xxx.romanichel.net, et même une série de lignes dans le code source de la page de l’opérateur :
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Selon Le Canard Enchainé, Martin Bouygues avait déclaré en janvier 2011 « Je me suis acheté un château, ce n’est pas pour laisser les romanichels venir sur les pelouses ! », pour parler de l’arrivée d’un quatrième opérateur de téléphonie mobile : Free.
Xavier Niel, dirigeant d’Iliad, ne s’était pas privé pour faire référence à cette pique, notamment lors des quelques semaines précédent le lancement de Free Mobile. L’on avait ainsi pu découvrir une caravane sur le site mobile.free.fr, un camion posté devant le siège de Bouygues, des adresses IP sous la forme xx-xx-xxx-xxx.romanichel.net, et même une série de lignes dans le code source de la page de l’opérateur :
< !— Ca y est : on harnache les chevaux aux roulottes —>
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martin bouygues
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« On vous presse comme des citrons, c’est nous les pigeons et on en a ras-le-bol de se faire arnaquer avec les prix les plus élevés d’Europe »
Devant un parterre de journalistes, et tandis que les rumeurs les plus folles circulaient depuis des semaines, Xavier Niel dévoile les grilles tarifaires du nouvel opérateur de téléphonie mobile, Free Mobile. Prix imbattables, appels totalement illimités, aucun engagement. L’offre fait l’effet d’une bombe, surtout auprès des opérateurs historiques qui s’étaient jusque là organisés en un tranquille oligopole. Le lancement est un succès auprès de l’opinion publique, et s’avère être une véritable campagne marketing, à zéro coût, le buzz ayant été à son paroxysme sur le territoire français.
Le maître de cérémonie s’offusque des contrats pratiqués par la concurrence, et n’hésite pas à qualifier ceux qui resteraient chez leur opérateur au lieu de venir chez Free Mobile de pigeons. Disposant déjà d’une base conséquente d’utilisateurs à travers ses services internet (4,8 millions d’abonnés), Xavier Niel permet donc à Free de se lancer dans une offre de quadruple play très attendue (internet, télévision, fixe et mobile). Objectif : 3 millions d’abonnés sur le mobile.
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« On vous presse comme des citrons, c’est nous les pigeons et on en a ras-le-bol de se faire arnaquer avec les prix les plus élevés d’Europe »
Devant un parterre de journalistes, et tandis que les rumeurs les plus folles circulaient depuis des semaines, Xavier Niel dévoile les grilles tarifaires du nouvel opérateur de téléphonie mobile, Free Mobile. Prix imbattables, appels totalement illimités, aucun engagement. L’offre fait l’effet d’une bombe, surtout auprès des opérateurs historiques qui s’étaient jusque là organisés en un tranquille oligopole. Le lancement est un succès auprès de l’opinion publique, et s’avère être une véritable campagne marketing, à zéro coût, le buzz ayant été à son paroxysme sur le territoire français.
Le maître de cérémonie s’offusque des contrats pratiqués par la concurrence, et n’hésite pas à qualifier ceux qui resteraient chez leur opérateur au lieu de venir chez Free Mobile de pigeons. Disposant déjà d’une base conséquente d’utilisateurs à travers ses services internet (4,8 millions d’abonnés), Xavier Niel permet donc à Free de se lancer dans une offre de quadruple play très attendue (internet, télévision, fixe et mobile). Objectif : 3 millions d’abonnés sur le mobile.
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« On vous presse comme des citrons, c’est nous les pigeons et on en a ras-le-bol de se faire arnaquer avec les prix les plus élevés d’Europe »
Devant un parterre de journalistes, et tandis que les rumeurs les plus folles circulaient depuis des semaines, Xavier Niel dévoile les grilles tarifaires du nouvel opérateur de téléphonie mobile, Free Mobile. Prix imbattables, appels totalement illimités, aucun engagement. L’offre fait l’effet d’une bombe, surtout auprès des opérateurs historiques qui s’étaient jusque là organisés en un tranquille oligopole. Le lancement est un succès auprès de l’opinion publique, et s’avère être une véritable campagne marketing, à zéro coût, le buzz ayant été à son paroxysme sur le territoire français.
Le maître de cérémonie s’offusque des contrats pratiqués par la concurrence, et n’hésite pas à qualifier ceux qui resteraient chez leur opérateur au lieu de venir chez Free Mobile de pigeons. Disposant déjà d’une base conséquente d’utilisateurs à travers ses services internet (4,8 millions d’abonnés), Xavier Niel permet donc à Free de se lancer dans une offre de quadruple play très attendue (internet, télévision, fixe et mobile). Objectif : 3 millions d’abonnés dans le mobile.
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Devant un parterre de journalistes, et tandis que les rumeurs les plus folles circulaient depuis des semaines, Xavier Niel dévoile les grilles tarifaires du nouvel opérateur de téléphonie mobile, Free Mobile. Prix imbattables, appels totalement illimités, aucun engagement. L’offre fait l’effet d’une bombe, surtout auprès des opérateurs historiques qui s’étaient jusque là organisés en un tranquille oligopole. Le lancement est un succès auprès de l’opinion publique, et s’avère être une véritable campagne marketing, à zéro coût, le buzz ayant été à son paroxysme sur le territoire français.
Le maître de cérémonie s’offusque des contrats pratiqués par la concurrence, et n’hésite pas à qualifier ceux qui resteraient chez leur opérateur au lieu de venir chez Free Mobile de pigeons. Disposant déjà d’une base conséquente d’utilisateurs à travers ses services internet (4,8 millions d’abonnés), Xavier Niel permet donc à Free de se lancer dans une offre de quadruple play très attendue (internet, télévision, fixe et mobile). Objectif : 3 millions d’abonnés dans le mobile.
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Xavier Niel Free Mobile
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« C’est indigne de pouvoir reprocher au président de la République d’être allé dans une brasserie populaire des Champs-Elysées ce soir-là »
Invité de Mardi politique sur RFI, l’ancien ministre de l’industrie Christian Estrosi était amené à revenir sur la célèbre soirée du Fouquet’s, laquelle avait couronné l’avènement de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République.
L’opulence du lieu avait alors marqué les esprits, et consacré l’image bling-bling qui allait tant coller à la peau du nouveau président.
Refusant longuement de commenter cette soirée, Christian Estrosi avait préféré souligner qu’il avait, lui, fêté la victoire Place de la Concorde. Toutefois, devant l’insistance des journalistes, celui-ci avait fini par banaliser le lieu : « C’est indigne de pouvoir reprocher au président de la République d’être allé dans une brasserie populaire des Champs-Elysées ce soir-là ».
Sentant la bourde venir, celui-ci s’était alors empressé d’interroger les journalistes, leur demandant à son tour qui parmi eux avait déjà été dans ce restaurant huppé. Sans succès.
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« C’est indigne de pouvoir reprocher au président de la République d’être allé dans une brasserie populaire des Champs-Elysées ce soir-là »
Invité de Mardi politique sur RFI, l’ancien ministre de l’industrie Christian Estrosi était amené à revenir sur la célèbre soirée du Fouquet’s, laquelle avait couronné l’avènement de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République.
L’opulence du lieu avait alors marqué les esprits, et consacré l’image bling-bling qui allait tant coller à la peau du nouveau président.
Refusant longuement de commenter cette soirée, Christian Estrosi avait préféré souligner qu’il avait, lui, fêté la victoire Place de la Concorde. Toutefois, devant l’insistance des journalistes, celui-ci avait fini par banaliser le lieu : « C’est indigne de pouvoir reprocher au président de la République d’être allé dans une brasserie populaire des Champs-Elysées ce soir-là ».
Sentant la bourde venir, celui-ci s’était alors empressé d’interroger les journalistes, leur demandant à son tour qui parmi eux avait déjà été dans ce restaurant huppé. Sans succès.
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« C’est indigne de pouvoir reprocher au président de la République d’être allé dans une brasserie populaire des Champs-Elysées ce soir-là »
Invité de Mardi politique sur RFI, l’ancien ministre de l’industrie Christian Estrosi était amené à revenir sur la célèbre soirée du Fouquet’s, laquelle avait couronné l’avènement de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République.
L’opulence du lieu avait alors marqué les esprits, et consacré l’image bling-bling qui allait tant coller à la peau du nouveau président.
Refusant longuement de commenter cette soirée, Christian Estrosi avait préféré souligner qu’il avait, lui, fêté la victoire Place de la Concorde. Toutefois, devant l’insistance des journalistes, celui-ci avait fini par banaliser le lieu : « C’est indigne de pouvoir reprocher au président de la République d’être allé dans une brasserie populaire des Champs-Elysées ce soir-là ».
Sentant la bourde venir, celui-ci s’était alors empressé d’interroger les journalistes, leur demandant à son tour qui parmi eux avait déjà été dans ce restaurant huppé. Sans succès.
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« C’est indigne de pouvoir reprocher au président de la République d’être allé dans une brasserie populaire des Champs-Elysées ce soir-là »
Invité de Mardi politique sur RFI, l’ancien ministre de l’industrie Christian Estrosi était amené à revenir sur la célèbre soirée du Fouquet’s, laquelle avait couronné l’avènement de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République.
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Refusant longuement de commenter cette soirée, Christian Estrosi avait préféré souligner qu’il avait, lui, fêté la victoire Place de la Concorde. Toutefois, devant l’insistance des journalistes, celui-ci avait fini par banaliser le lieu : « C’est indigne de pouvoir reprocher au président de la République d’être allé dans une brasserie populaire des Champs-Elysées ce soir-là ».
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Christian-Estrosi-Fouquets
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Invité de Mardi politique sur RFI, l’ancien ministre de l’industrie Christian Estrosi était amené à revenir sur la célèbre soirée du Fouquet’s, laquelle avait couronné l’avènement de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République.
L’opulence du lieu avait alors marqué les esprits, et consacré l’image bling-bling qui allait tant coller à la peau du nouveau président.
Refusant longuement de commenter cette soirée, Christian Estrosi avait préféré souligner qu’il avait, lui, fêté la victoire Place de la Concorde. Toutefois, devant l’insistance des journalistes, celui-ci avait fini par banaliser le lieu : « C’est indigne de pouvoir reprocher au président de la République d’être allé dans une brasserie populaire des Champs-Elysées ce soir-là ».
Sentant la bourde, celui-ci s’était alors empressé d’interroger les journalistes, leur demandant à son tour qui parmi eux avait déjà été dans ce restaurant huppé.
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Invité de Mardi politique sur RFI, l’ancien ministre de l’industrie Christian Estrosi était amené à revenir sur la célèbre soirée du Fouquet’s, laquelle avait couronné l’avènement de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République.
L’opulence du lieu avait alors marqué les esprits, et consacré l’image bling-bling qui allait tant coller à la peau du nouveau président.
Refusant longuement de commenter cette soirée, Christian Estrosi avait préféré souligner qu’il avait, lui, fêté la victoire Place de la Concorde. Toutefois, devant l’insistance des journalistes, celui-ci avait fini par banaliser le lieu : « C’est indigne de pouvoir reprocher au président de la République d’être allé dans une brasserie populaire des Champs-Elysées ce soir-là ».
Sentant la bourde, celui-ci s’était alors empressé d’interroger les journalistes, leur demandant à son tour qui parmi eux avait déjà été dans ce restaurant huppé.
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